Parlons Péloches - Les 5 leçons à tirer de « Blade Runner 2049 »

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Les 5 leçons à tirer de « Blade Runner 2049 »

On l’attendait. Ou pas. On était inquiet. Ou pas. On avait adoré celui de 1982. Ou pas. (What ? Mais que faites-vous ici ?) On vous laisse vous faire votre opinion sur Blade Runner 2049, mais en attendant on a retenu quelques trucs.

Leçon N°1

Peugeot, c’est de la bonne bagnole. Aujourd’hui, c’est peut-être classe de rouler en Audi ou en BMW, mais dans 30 ans, pour draguer et s’envoyer dans les airs, rien de tel qu’une bonne virée en Peugeot, en écoutant du Hans Zimmer sur son autoradio Sony. Placement de produit vous dites ? Vous voyez le mal partout…

Leçon N°2

Ryan Gosling est un imposteur. Ce n’est pas lui qui jouait du piano dans La La Land. À peine quelques mois plus tard dans Blade Runner 2049 : un piano, il s’approche, il tapote une touche, et puis rien. Pas un sourire, pas une petite chanson, pas une amorce de petit pas de claquettes…On s’est bien fait avoir.

Leçon N°3

La musique de Vangelis, c’est génial. Enfin c’est pas mal. Enfin pas si mal. Finalement. En y repensant. Après avoir passé 2h44 à écouter du Hans Zimmer.

 

Leçon N°4

En 2049 comme en 2017, un plan à 3, ça nécessite de la synchronisation. Cette leçon n’est pas illustrée, sauf en version Premium. Nous contacter en MP.

Leçon N°5

Un chien qui mange des croquettes et boit de l’eau en remuant la queue, c’est sympa, mais c’est basique. Un chien qui boit du whisky, ça c’est vrai bon pote. Qui saura toujours se débrouiller tout seul.

 

Et là, vous restez sur votre faim, vous auriez bien voulu savoir définitivement si Harrison Deckard est un Réplicant. Ou pas. N’insistez pas. Vous ne saurez rien. Allez donc cherchez votre vérité dans une salle obscure et revenez en discuter avec nous…