On ne va pas se mentir, « 120 battements par minute » n’est pas le film le plus bidonnant de l’année. Mais notre rédac’chef nous dit toujours : « Parlons Péloches, y’a du fond, mais faut un ton léger ». Bon. Dont Act. … Act Up. Voilà, ahahah, c’est parti pour la rigolade.
J’ai toujours clamé haut et fort en soirée qu’Abba, c’est fédérateur pour l’ambiance. Sachez que clamer haut et fort dans la rue « Des molécules pour qu’on s’encule », ça marche aussi.
On ne ressort a priori pas de la séance en se disant « c’était mieux avant ». Néanmoins au début des années 90, on pouvait louer un appart à Paris pour 850 francs. Ça peut inciter à la nostalgie.
Les plages du Nord sont magnifiques. Peut-être que la scène à la mer n’a pas été tournée sur l’une d’entre elles, mais ça y ressemblait. Du coup c’est l’occasion de le placer. Ça ne mange pas de pain pour les mouettes.
Le stagiaire qui était chargé du générique de fin ne s’est pas trop foulé. Comme quoi, pas besoin de trop se prendre la tête pour trouver LA bonne musique qui va bien calmer la salle. Non, vraiment pas.
On ne comprenait pas tout et on se dandinait dessus bêtement, c’était sympa Bronski Beat.
Pour terminer sur une note festive : Silence = mort. Alors… faites du bruit !
Et ça, c’est une vraie leçon.